作词 : Aurélien Mathot
作曲 : Aurélien Mathot/Sophie Perrin
Quand le quotidien tire les rideaux sur nos fenêtres
Que dans l’ombre des carreaux, on voit lentement disparaître
La ligne d’un horizon bien meilleur
Le rayon d’un Soleil enchanteur
Quand le quotidien de sa force nous empoigne
Et nous écrase, et nous enferme dans son ronron qui nous éloigne
Que reste-t-il si sous l’étreinte, on courbe l’échine ?
Que reste-t-il si sous les plaintes, on se maquille ?
En gens heureux, en couple idéal
Pathétique et banal
Alors on s’enlace, puis on se lasse
C’est la vie mon amour, hélas
On s’en veut, on se tire les cheveux
Si tu joues plus mon amour
Y’aura pas un gagnant
Mais deux perdants
Quand le quotidien brade nos rêves sur un post-it
Anciens numéros un relégués tout en bas d’la liste
Remont’ront-ils au-dessus des contraintes ?
S’effaceront-ils sous les tâches de l’astreinte ?
Nous laisseront-ils, pensifs sur les rails
Du train-train qui jamais ne s’emballe…
Alors on s’enlace, puis on se lasse
C’est la vie mon amour, hélas
On s’en veut, on se tire les cheveux
Si tu joues plus mon amour
Y’aura pas un gagnant
Mais deux perdants
Quand Monsieur Machin aura oublié nos prénoms
Que le temps lui-même en aura perdu la raison
Que restera-t-il ? Des pages blanches, quelques brouillons,
Que restera-t-il ? Le silence d’une grande maison
Deux cœurs tout vides, battant le rythme hivernal
En cadence minimale
Alors on s’enlace, puis on se lasse
C’est la vie mon amour, hélas…
On s’en veut, on se tire les cheveux
À toi de jouer mon amour !
On s’enlace, puis on se lasse
C’est la vie mon amour hélas…
On s’en veut, on se tire les cheveux
Si tu joues plus mon amour
Y’aura pas un gagnant,
Mais deux perdants…
作词 : Aurélien Mathot
作曲 : Aurélien Mathot/Sophie Perrin
Quand le quotidien tire les rideaux sur nos fenêtres
Que dans l’ombre des carreaux, on voit lentement disparaître
La ligne d’un horizon bien meilleur
Le rayon d’un Soleil enchanteur
Quand le quotidien de sa force nous empoigne
Et nous écrase, et nous enferme dans son ronron qui nous éloigne
Que reste-t-il si sous l’étreinte, on courbe l’échine ?
Que reste-t-il si sous les plaintes, on se maquille ?
En gens heureux, en couple idéal
Pathétique et banal
Alors on s’enlace, puis on se lasse
C’est la vie mon amour, hélas
On s’en veut, on se tire les cheveux
Si tu joues plus mon amour
Y’aura pas un gagnant
Mais deux perdants
Quand le quotidien brade nos rêves sur un post-it
Anciens numéros un relégués tout en bas d’la liste
Remont’ront-ils au-dessus des contraintes ?
S’effaceront-ils sous les tâches de l’astreinte ?
Nous laisseront-ils, pensifs sur les rails
Du train-train qui jamais ne s’emballe…
Alors on s’enlace, puis on se lasse
C’est la vie mon amour, hélas
On s’en veut, on se tire les cheveux
Si tu joues plus mon amour
Y’aura pas un gagnant
Mais deux perdants
Quand Monsieur Machin aura oublié nos prénoms
Que le temps lui-même en aura perdu la raison
Que restera-t-il ? Des pages blanches, quelques brouillons,
Que restera-t-il ? Le silence d’une grande maison
Deux cœurs tout vides, battant le rythme hivernal
En cadence minimale
Alors on s’enlace, puis on se lasse
C’est la vie mon amour, hélas…
On s’en veut, on se tire les cheveux
À toi de jouer mon amour !
On s’enlace, puis on se lasse
C’est la vie mon amour hélas…
On s’en veut, on se tire les cheveux
Si tu joues plus mon amour
Y’aura pas un gagnant,
Mais deux perdants…