作词 : Aurélien Mathot
作曲 : Aurélien Mathot/Sophie Perrin
Je connais bien, les faux airs de l’artifice
Du crayon malin, qui s’estompe et qui glisse
Sur tes yeux, trop
Éblouis par le Soleil
Craquelle ta peau
Le mirage n’est pas éternel
Ton regard un peu vieilli, par les courbes de la vie
Sous tes paupières qui s’ennuient, je t’aime aussi dans tes nuits
Car la Lune dans son lit de poussière d’étoiles immense
Sous le brouillard infini, dans sa bienveillance
Sème sur ta peau, le sable de jouvence
Et si de jour elle se cache,
Mon amour c’est pour que tu saches,
Que ton miroir n’est qu’un lâche
Oui tu connais, les revers du maquillage
À défaut de vrai, il ne dissipe que les nuages
Sur tes lèvres, qui
Rougies, superficielles
Pleurent sous la pluie
Quand l’orage descend du ciel
Et ta bouche refermée, sur les mots qu’on s’interdit
Ton silence me séduit, je t’aime aussi dans tes non-dits
Car la Lune dans son lit de poussière d’étoiles immense
Sous le brouillard infini, dans sa bienveillance
Sème sur ta peau, le sable de jouvence
Et si de jour elle se cache,
Mon amour c’est pour que tu saches,
Que ton miroir n’est qu’un lâche
Tu le sais bien, qu’il faut tourner les pages
Que le plastique, ne rend plus beau que l’emballage
Que les poupées
Gonflées
Brillantes de vernis
Sont les étoiles filantes d’une seule nuit
作词 : Aurélien Mathot
作曲 : Aurélien Mathot/Sophie Perrin
Je connais bien, les faux airs de l’artifice
Du crayon malin, qui s’estompe et qui glisse
Sur tes yeux, trop
Éblouis par le Soleil
Craquelle ta peau
Le mirage n’est pas éternel
Ton regard un peu vieilli, par les courbes de la vie
Sous tes paupières qui s’ennuient, je t’aime aussi dans tes nuits
Car la Lune dans son lit de poussière d’étoiles immense
Sous le brouillard infini, dans sa bienveillance
Sème sur ta peau, le sable de jouvence
Et si de jour elle se cache,
Mon amour c’est pour que tu saches,
Que ton miroir n’est qu’un lâche
Oui tu connais, les revers du maquillage
À défaut de vrai, il ne dissipe que les nuages
Sur tes lèvres, qui
Rougies, superficielles
Pleurent sous la pluie
Quand l’orage descend du ciel
Et ta bouche refermée, sur les mots qu’on s’interdit
Ton silence me séduit, je t’aime aussi dans tes non-dits
Car la Lune dans son lit de poussière d’étoiles immense
Sous le brouillard infini, dans sa bienveillance
Sème sur ta peau, le sable de jouvence
Et si de jour elle se cache,
Mon amour c’est pour que tu saches,
Que ton miroir n’est qu’un lâche
Tu le sais bien, qu’il faut tourner les pages
Que le plastique, ne rend plus beau que l’emballage
Que les poupées
Gonflées
Brillantes de vernis
Sont les étoiles filantes d’une seule nuit