作词 : Jonas Brunel/Nicolas Schouller/Hubert Courtaud/Antoine Picard/Jocelyn Dubois/Marceau Tortevoie
作曲 : Jonas Brunel/Nicolas Schouller/Hubert Courtaud/Antoine Picard/Jocelyn Dubois/Marceau Tortevoie
La pénombre commence à glisser sur les tuiles des toits
Un silence pesant règne sur l'atmosphère fragile
Le vent glacial traverse la pierre froide des murs
Alors je nourris le feu, de mes dernières bûches encore terreuses
Il ne me reste plus qu’à admirer la danse majestueuse des flammes
Elles tournoient, elles flamboient dans un spectacle incandescent
Que j'alimente constamment afin qu’il dure éternellement
Il m’apaise, il me protège tant que je fais tourner le manège
Aspirant mes soucis, transformant mon ennui
Un voyage infini qui m'assagit
Une nuit
Qui m’a ouvert les yeux
Sur une vie
Qui joue avec le feu
Mes paupières se sont rapprochées l’une de l’autre, noir total
Chaque crépitement résonnait en moi rythmant une descente globale
Un embarquement sans aucune destination
Un pèlerinage interne sur le chemin des sensations
Mes muscles se dénouent, oh ma respiration sonde
Emporté par des mouvements, guidé par les signaux, gouvernail libre
Je vague et je divague, dans les courants centraux, en équilibre
Les questions, peu à peu, s'effacent pour laisser place au silence
Je peux maintenant ressentir sa présence
Une nuit
Qui m’a ouvert les yeux
Sur une vie
Qui joue avec le feu
La solitude permet de faire un retour à zéro
L’amour renaît de ses cendres, libéré de tous ses maux
La fumée environnante fusionne avec mon corps
Mon esprit (l’esprit baigne) baigne encore
Des lumières transpercent mon être comme des météores
Les sons peignent ce nouveau décor
Mes palpitations sont de plus en plus pures
La flamme prend de l’envergure
Elle éclaircit ma vraie nature
Une nuit
Qui m’a ouvert les yeux
Sur une vie
Qui joue avec le feu
Une nuit
Qui m'a ouvert les yeux
作词 : Jonas Brunel/Nicolas Schouller/Hubert Courtaud/Antoine Picard/Jocelyn Dubois/Marceau Tortevoie
作曲 : Jonas Brunel/Nicolas Schouller/Hubert Courtaud/Antoine Picard/Jocelyn Dubois/Marceau Tortevoie
La pénombre commence à glisser sur les tuiles des toits
Un silence pesant règne sur l'atmosphère fragile
Le vent glacial traverse la pierre froide des murs
Alors je nourris le feu, de mes dernières bûches encore terreuses
Il ne me reste plus qu’à admirer la danse majestueuse des flammes
Elles tournoient, elles flamboient dans un spectacle incandescent
Que j'alimente constamment afin qu’il dure éternellement
Il m’apaise, il me protège tant que je fais tourner le manège
Aspirant mes soucis, transformant mon ennui
Un voyage infini qui m'assagit
Une nuit
Qui m’a ouvert les yeux
Sur une vie
Qui joue avec le feu
Mes paupières se sont rapprochées l’une de l’autre, noir total
Chaque crépitement résonnait en moi rythmant une descente globale
Un embarquement sans aucune destination
Un pèlerinage interne sur le chemin des sensations
Mes muscles se dénouent, oh ma respiration sonde
Emporté par des mouvements, guidé par les signaux, gouvernail libre
Je vague et je divague, dans les courants centraux, en équilibre
Les questions, peu à peu, s'effacent pour laisser place au silence
Je peux maintenant ressentir sa présence
Une nuit
Qui m’a ouvert les yeux
Sur une vie
Qui joue avec le feu
La solitude permet de faire un retour à zéro
L’amour renaît de ses cendres, libéré de tous ses maux
La fumée environnante fusionne avec mon corps
Mon esprit (l’esprit baigne) baigne encore
Des lumières transpercent mon être comme des météores
Les sons peignent ce nouveau décor
Mes palpitations sont de plus en plus pures
La flamme prend de l’envergure
Elle éclaircit ma vraie nature
Une nuit
Qui m’a ouvert les yeux
Sur une vie
Qui joue avec le feu
Une nuit
Qui m'a ouvert les yeux